Un jour de février 2008, je suis allée marcher dans le désert, avec des personnes de l’équipe de Guy Corneau. http://www.toslog.com/guycorneau/biographie . La sophrologie s’est imposée d’elle- même, il régnait une ambiance, un retour à soi, une réalité de ce que l’on vivait, de ce que l’on était. Notre caravane avançait dans ce sable fin, ce sable à perte de vue. Nous partions pour 6 heures de marche. Le soleil, par sa chaleur immense me plaquait sur ce sable. Déjà, malgré mon ignorance, je ressentais, je vivais mon corps. Certaines journées, nous marchions dans le silence. J’ai découvert d’autre aspect de moi, mon mental fonctionnait à tout berzingue. Des idées apparaissaient, m’indiquant que je ne tiendrais pas, puis d’autres me rendaient d’une légèreté improbable. Selon mon schéma de pensée, mon corps s’exprimait. J’ai très vite compris, qu’il me fallait contrôler mon mental. Lorsque je contrôlais mon mental, je remontais d’une traite la caravane de ...
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